Pratique des paumes

Publié le par santealternative.over-blog.net

PRATIQUE DES PAUMES

  
PRATIQUE DES PAUMES PLUTOT QUE MORPHINE
Comme nous l’avons déjà évoqué, l’éducation naturelle de l’œil n’améliore pas seulement la vue, mais représente aussi un moyen par lequel la douleur, la fatigue, les symptômes de certaines maladies, ainsi que d’autres malaises peuvent être soulagés. Dans ce champ d’application, elle est de la plus grande valeur pour les soldats et les marins.
Si, durant la récente guerre, ils avaient connu cette méthode simple et toujours disponible de soulagement de la douleur par la mémoire, non seulement beaucoup de douleur, mais aussi de nombreux décès consécutifs aux effets destructeurs de la douleur sur le corps auraient pu être évités.
Ainsi, un soldat dans un fossé inondé, s’il peut se rappeler parfaitement le noir, saura que la température de l’eau est glaciale, mais ne souffrira pas du froid. Dans les mêmes conditions, il peut succomber d’épuisement durant une marche intensive, mais il ne sentira pas la fatigue. Il peut mourir d’hémorragie, mais ce sera sans souffrance. Il ne sera pas nécessaire de lui administrer de la morphine pour soulager sa douleur. Et ne sera pas ajouté aux dangers des champs de bataille celui d’une assistance médicamenteuse perpétuelle à la morphine une fois de retour à la vie civile.
Nous avons de nombreuses raisons de croire que la morphine est responsable d’une énorme proportion d’accidents durant la guerre.
Certaines armes furent utilisées pour causer des souffrances intenses en explosant. Souvent, des hommes sont morts de douleur avant que l’aide ne puisse arriver. Mais quand ils pouvaient les sauver, les chirurgiens leur administraient immédiatement de la morphine. La plupart du temps, l’injection était réitérée quelques heures plus tard. Puis cette drogue médicamenteuse était donnée moins fréquemment, mais dans de nombreux cas le patient ne put en être totalement sevré durant son hospitalisation.
Un chirurgien de la Croix Rouge, lors d’une réunion de la société médicale du comté de New York, a ainsi déclaré qu’il avait été involontairement responsable d’addiction à la morphine chez des milliers de soldats, et que chaque médecin militaire avait fait la même chose au front.
Par une méthode aussi simple que la pratique des paumes, tout cela aurait pu être évité.
Si nous nous orientons vers un service militaire et naval, une part essentielle de cette formation devrait donc être l’apprentissage de cet art de soulager notre propre douleur.
Dans l’éventualité d’une guerre, chaque personne appelée au front devrait maîtriser la pratique des paumes, et ce quelles que soient ses capacités : du général à l’amiral, jusqu’à l’ambulancier.
Chaque personne située dans une zone guerrière, peu importe à quelle distance des lignes du front, peut avoir besoin de cette connaissance pour soulager sa propre douleur. Et chacun peut en avoir besoin pour soulager celle des autres.
RAPPEL : LA PRATIQUE DES PAUMES : CHAP. XII
Toutes les méthodes employées dans le traitement des problèmes de vue, des erreurs de réfraction ne sont simplement que des moyens différents d’obtenir la relaxation.
La plupart des patients, mais pas la totalité, trouvent plus facilement cette détente avec les yeux fermés. Cela diminue habituellement les surefforts inutiles pour vouloir voir, entraînant ainsi une amélioration provisoire ou plus durable de la vision. Pour de nombreux patients, fermer simplement les yeux apporte de grands bienfaits. En les reposant alternativement pendant quelques minutes ou plus, puis en les rouvrant et en regardant l’échelle de lecture très brièvement pendant une fraction de seconde, ils obtiennent en général très rapidement des instants d’amélioration visuelle.
Par ce procédé, des personnes acquièrent temporairement une vision presque normale. Pour certains cas rares, une guérison totale a pu apparaître en parfois moins d’une heure.
Mais comme un peu de lumière passe encore par les paupières closes, une relaxation plus parfaite peut être obtenue – sauf cas exceptionnels – en faisant disparaître ces stimuli lumineux. Cela peut se faire aisément en couvrant les yeux fermés avec nos paumes, de façon à éviter une pression sur les globes oculaires. J’ai appelé cette pratique remarquable la pratique des paumes. Elle est tellement efficace pour soulager les tensions que nous y avons tous recours instinctivement.
Photo 42. La pratique des paumes
La pratique des paumes est l’une des méthodes les plus efficaces pour obtenir la relaxation de tous les nerfs sensoriels.
Par ce procédé, la plupart des patients peuvent obtenir une qualité de relaxation remarquable (42).
(42) La pratique des paumes est simple, mais demande une technique juste. Cette pratique de relaxation semble physique mais est principalement cérébrale. Les doigts de la main droite sont posés sur ceux de la main gauche, eux-mêmes posés sur le front. Les yeux se trouvent au centre de chaque paume, qui n’exerce aucune pression. Les mains sont nécessairement biaises – comme formant la lettre A – et non verticales, sinon la lumière passerait encore. Le volume formé par la naissance de l’auriculaire trouve naturellement sa place et se loge à l’angle de la naissance du nez – naissance de l’arcade sourcilière. Et, fait essentiel, ce repos temporaire de milliards de photorécepteurs et de 38 % des fibres nerveuses extracérébrales ne pourra être effectif que si vous l’accompagnez de pensées agréables, sentiments nobles ou optimistes, joie ou souvenirs de choses familières, c’est-à-dire aimées : objet, couleur, etc.
La pratique des paumes semble englober de nombreuses autres actions régulatrices propres découlant des propriétés physiques de nos mains. Peu d’études mesurées existent en ce domaine, mais certains rayonnements électromagnétiques mesurables permettent d’y voir un réel bain d’une riche gamme de diverses fréquences vibratoires et, qui plus est, parfaitement adapté au propriétaire de chaque paire de paumes, dont les yeux ou cellules de l’œil ne sélectionneront que ce qu’ils demandent. Songeons simplement aux multiples bienfaits constatés de l’électrothérapie ou de l’ionocinèse, en notant qu’il y a pour un simple tibia, par exemple plus de trente différences de potentiels électriques.
RAPPEL : SOULAGER LA DOULEUR PAR LA MEMOIRE : CHAP. XIX
Depuis de nombreuses années, des patients ayant été guéris de leur vue imparfaite par traitement naturel, sans lunettes, m’ont souvent fait le témoignage suivant : une fois leur vision devenue parfaite, ils étaient toujours débarrassés de leurs douleurs, non seulement dans les yeux et la tête, mais dans d’autres parties du corps. Et ce, même lorsque la douleur provenait d’une maladie organique ou d’un accident.
Ce soulagement était souvent si frappant que, l’ayant remarqué, j’ai pu l’étudier sur plusieurs milliers de cas. J’ai donc pu constater comme un fait que les personnes à la vue parfaite ou ayant la mémoire de la vue parfaite – c’est-à-dire de quelque chose de parfaitement vu – ne souffrent de douleur dans aucune partie de leur corps.
En revanche, tout sureffort que l’on s’impose pour vouloir voir sera toujours cause de douleur dans diverses parties du corps.
Par vue parfaite, on n’entend pas nécessairement dans ce cas précis avoir la perception visuelle parfaite, à cet instant, des mots, lettres, ou objets de formes plus ou moins complexes. Voir parfaitement la couleur seule est suffisant, pour cette application, et la couleur la plus facile à voir parfaitement est, en général, le noir. Si toutefois aucune couleur n’est pour telle personne un optimiseur de la vue, il sera préférable de la choisir.
Mais la vue parfaite n’est pas continue, des travaux scientifiques poussés ayant révélé qu’elle est rarement maintenue pendant plus de quelques minutes et généralement pas aussi longtemps. Ainsi, pour des résultats bien concrets, la mémoire est plus satisfaisante que la vue afin de soulager la douleur, car elle est susceptible d’être conservée de façon plus permanente.
DES DOULEURS OPERATOIRE POSSIBLES A EVITER
Dr BATES, Une vue parfaite sans lunettes, 1918. 

  

Publié dans Thérapeutique

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